Le refus global – littérature et société/ parole littéraire engagée et politique, un héritage?
- ANEL
- Événement

Table ronde présentée au Festival Québec en toutes lettres et organisée par l’ANEL et l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ).
Dimanche 21 octobre à 13 h 30 à la Maison de la littérature, 40, rue Saint-Stanislas à Québec
En 1948, avec les mots de Borduas, les Automatistes publiaient leur manifeste artistique. Selon Sophie Dubois, auteure de l’essai Refus global – Histoire d’une réception partielle, le manifeste est une œuvre qui a incarné, plus que n’importe quelle autre, semble-t-il, à la fois la rupture d’avec la Grande Noirceur et l’amorce de la Révolution tranquille.
Après 70 ans, quelles traces le Refus global a-t-il laissées dans la société et dans la littérature? Écrire et éditer de nos jours, quelles différences avec l’ère de Borduas? Qu’en est-il de la prise de risques des écrivains et des éditeurs en 2018? Ce sont quelques-unes des questions auxquelles tenteront de répondre les auteurs Anaïs Barbeau-Lavalette et Alain Deneault, et les éditeurs Étienne Beaulieu, Groupe Nota bene et Mark Fortier, Lux éditeur.
Animation : Dominique Lemieux
Activité gratuite